Did you know it was raining cats and dogs outside ?

Priviet vous tous, chers amis potentiels, et admirateurs en puissance de mon fin cynisme, je n’en doute pas…

Avant de débuter ce qui sera très certainement un ramassis d’absurdités, de bêtises sans nom, de contradictions puériles, de jeux de mots douteux et de considérations couleurs cloporte sur la life et l’existence qui précède les sens, laissez moi ouvrir par une courte introduction (l’adjectif court en fera sourire certains, j’en mettrais ma main à couper dans l’âtre de la cheminée électrique de mon grand oncle…)

J’avouerai que j’ai longuement hésité avant de me décider à remplir le formulaire d’inscription de céans et à appuyer la pointe de ma plume virtuelle contre le bloc d’un blanc immaculé de rédaction des messages. Plus difficile fut encore pour moi, le tracé des arabesques de pixel qui constituent le chef-d’œuvre littéraire que vos petits yeux émus parcourent actuellement. Héraklessien fut l’effort que me coûta la simple pression du pointeur de ma souris sur le (très laid, soit dit en passant) petit bouton « envoi »…

Bref, en un mot comme en trois mille, histoire de vous épargner ma poésie digne d’un comptoir de pub londonnien, j’ai hésité à m’inscrire ici, pour la simple et bonne raison, que, si certains me connaissent sans doute sous le nom de Liria (Li-Ri-A… « La langue fait trois petits bonds contre« ….. Contre… Ah… Hum… bah flûte alors, et dire que ça marche quand c’est Nabokov qui le fait… (Désolée les premiers mots de Lolita ont marqué ma pauvre petite cervelle influençable au fer rouge… Notez également ma manie d‘ajouter un appendice stupide à toutes mes pensées en imbriquant d‘interminables parenthèses fleuves les unes dans les autres… Ce sera le cauchemar de toute une génération de lecteurs, je vous le promet)) Mais bref, laissons les divagations et reprenons le fil de la phrase. Je disais donc que si certains me connaissent sans doute, tout comme certains noms résonnent pour moi, de sonorités familières, beaucoup des hôtes de ces lieux demeurent malgré tout, d’illustres inconnus à mes yeux. Ajoutez à cela qu’on ne puisse pas dire que j’ai réussi à nouer des liens d’une extraordinaire solidité, façon toile d’araignée (Rime en -é, uhuh !), avec ces-dites gens dont je connais le nom, (euphémisme powaaa… ! Faites gaffe, j’ai un quota de figures de style à employer pour chacun de mes messages !) et vous comprendrez ainsi aisément, timide que je suis, mes hésitations à sauter le pas et à pénétrer dans un cercle auquel je suis quasi-étrangère…

Et enffète, comprenez aussi par là que j’ai un commentaire de texte sur la conception Kantienne du bonheur à rendre en urgence pour jeudi, et que tout les moyens sont bons pour retarder le moment de m’attabler devant ma copie… Edgar poe appelait ça le démon de la perversité. Moi qui suis moins littéraire, je parlerais plutôt d’esprit-suicide.
*intermède publicitaire* Faites prépa ! Réveillez le kamikaze qui sommeille en vous ! *break musical* tralala-itou! *fin de l’intermède*

Bien, à présent, la situation étant clarifiée, quelque mots sur la chose.
Ah non, avant ! Encore un petit mot. Je hais les présentation, d’une haine froide et sans limite. Et à plus forte raison les présentations de forums littéraire, parce qu’on est obligé de s’y montrer original et drôle. Or, comme vous pouvez le constater l’humour, c’est pas franchement mon fort. En plusse, ayant horreur des copié/collé, je me triture chaque fois le neurone à chercher un nouvel angle sous lequel présenter ma mirifiquement exaltante petite vie. Bref. Écourtons nos phrases. Mettons des points. Pour. Laisser. Le lecteur respirer… Piuf, et je conclurait ce paragraphe de lamentations atones et stériles sur une note de gaité : I’m happy (copie-ratte le toutou à Tex)

Me concernant, vous l’aurez peut être donc compris, je suis une adolescente dépressive, spleenétique et romantique au pire sens du terme, c’est-à-dire exclusivement tournée vers mon Moi intérieur…. Et heu….. Flûte, je m’suis trompée de phrase. Celle là je voulais la caser à la fin. C’est pas qu’elle soit fausse, mais j’m’en voudrait de vous faire fuir dès les première lignes (procédé réthorique, v’savez ? Cicéron aimait bien ça, à mon grand dam de latiniste amateur….)
Non, en fait, ce que voulais vous dire, et que vous avez quand même sûrement remarqué aussi, c’est que je suis une jeune prépateuse de 17 hivers (l’expression colle bien à l’image de sombre ado gothique que je suis en train de me forger en battant le fer à froid), presque 18, au mois de mars, plus précisément (Surtout n’y voyez pas une tentative aussi vaine que grossière de vous signifier que mon anniversaire arrive bientôt et que personne ne me le souhaitera…. Bouh, Caliméro, mon maître en matière de discours !).
Ah ! Et, ‘faut pardonner à l’incohérence de certains de mes propos, mais mon neurone est en stade de liquéfaction avancé, victime d’un noir complot ourdi par Kant, Tite-Live, Ménandre, Zola, Flaubert et Casimir-Perrier pour me réduire à l’état de zombie baveux. D’ailleurs si vous avez un cerveau et que vous ne vous en servez plus, vous seriez gentil de me laisser le boire à la paille, le mien étant complètement H.S. depuis un certain temps déjà.
A part tout cela, sachez que je suis profondément amoureuse de tout ce qui touche à l’Inghiltera, ses petits pois à la menthe, ses Beatles, les culotte de sa reine mère, ses gardes royaux ridicules, ses cabines téléphoniques, son Shorleck Moles et sa bruine; ainsi que de la Russia, ses steppes gelées, ses églises bariolées, ses camps de vacance en Sibérie, ses petits fonctionnaires aux noms en -kine et ses écrivains d’essence divine. Je suis également lectrice boulimique, scribouillarde anorexique qui ne peut écrire trois lignes sans être prise de l‘irrésistible besoin d‘appuyer sur la touche « suppr« , rêvasseuse professionnelle, procrastineuse de génie, experte dans la constructions de longues phrases alambiquées, toutes jalonnées de barbarismes très divers, engloutisseuse de litchis non-épluchés, amatrice des bains de trois heures, fleur bleue romantique qui ne peut s‘empêcher de pousser des « aaw«  attendris devant les couples qui s‘embrassent au cinéma, tout en méprisant profondément les voyons qui font ça sur les bancs publiques (« en se jetant des je t‘aime pathétiiique-euh… »).
J’assume aussi pleinement mon statut de pauvre petite pucelle rudement malmenée par ses hormones, et sans cesse en butte à ses pulsions mal refoulées, qui l’amènent à fantasmer sur des écrivains ou des musiciens morts. Si le prince charmant passe par ici et qu’il lis mon message, qu’il vienne vite m’enlever sur son blanc destrier et me déniaiser dans la botte de foin la plus proche. Et s’il pouvait s’appeler Lev Mychkine, par-dessus l’marché, se serait parfait.

Pour ce qui est de mes goûts musicaux, ils sont on ne peut plus éclectiques et, par conséquent, indéfinissables autrement que par l’exemple. J’aime diverses choses, allant de la musique classique (mon cœur restera à jamais prisonnier des préludes de Rachmanini et du Boris Godounov de Moussorgski. D’ailleurs au passage, j’adore cet opéra et ses adaptations scéniques sont toutes pour moi d’inépuisables sources de fou rire. Mal adaptée, la mort de Boris est un grand moment comique (voyez, un quinqua grisonnant, ruisselant de sueur, empêtré dans une robe de chambre fendue aux côté, qui se trémousse sur le sol comme un épileptique en crise, tout en agripant spasmodiquement le tapis et en gémissant d'incompréhensibles borgborysmes en russe.... Vous y êtes ?)) au rock bourrin, voir même aux bêtifiantes bêtises que sont le rappe et erre enne bi (mais chut, faut pas que ça sorte de là….) A noter également que je suis en pleine redécouverte de Voltaire, Sia et Imogen Heap, qui sédimentaient jusqu joyeusement au plus profond des strates pré-cambriennes mon I-paude. Hormi tout ça, j’aime donc Poe, Jack the ripper, Joy division, Clash, Police, The rasmus (bouh la honte !), Bach, Chopin, Nightwish, Within Temptation, Queen, Moi dix Mois, Goran Bregovic, Saint Preux, Arcana, Tchaikovski, Prokofiev, Liszt, Mozart, Beethoven, les chansons traditionnelles russes, Sonata Arctica, Ferrat, Balavoine, Nirvana, Vivaldi, Xandria, Loreena Mc Kennith, Emily Simon, Tracy Chapman, Tori Amos, Emily Loizeau, The Dresden Dolls, The Posies, The sins of thy beloved, Stratovarius, Regina Spector, Reggiani, Ray Lamontagne, PJ Harvey, Sinsemilia, Nino Rota, Matmatah, Louise Attaque, Tarmac, Lacrimosa, Kate Havenevik, Sarah Mc Lahan, Kate Bush, Murat, Medtner, Franz Ferdinand, les interprétations de Gould, Dyonisos, Eminem, Deathstars, Daft Punk, Camille, Vian, Apocalyptica…. etc


Coté bouquins, Gogol est mon dieu, Pouchkine mon pape et Dostoievski mon maître en matière de psychologie, lui que je considère comme le grand théoricien de l’orgueil humain en littérature. Je voue à ces trois là un culte extatique, frénétique et sans bornes. D’ailleurs, j’ai un autel consacré au fond de mon armoire. Autrement j’aime aussi Balzac et son style encore plus bordélique que le mien, Maupassant notre maitre à tous, Dumas, Stendhal, Dickens, Boulgakov et beaucoup d’autre qu’il serait inutile et bien trop long de citer ici. De mes lectures de jeunesse j’ai conservé un certain goût pour Anne Fine, M-A Murrail, Moka, Roald Dahl, Daniel Pennac Phillip Pullman et Susie Morgenstern.

J’assume en revanche pleinement ma haine à l’encontre de Zola, de ses peintures régressives de la condition humaine, et de son style trop direct et trop cru pour mon amour de l‘esthétique stylistique romantique (hic ! La belle allitération ! Plus jamais de vodka après dîner je le jure…).
Victor Hugo me laisse perplexe depuis que nous l’avons disséqué en long, en large et en transversale durant le cour de français; et j’admire Goethe pour sa capacité à créer des personnages aussi haïssables et têtes à claques que Werther ou Othilie.
Je suis également profondément hermétique à la poésie, excepté quelques rares privilégiés qui ont l’honneur de me plaire, à savoir Pouchkine (offre course), Aloysius Bertrand, Baudelaire et Byron.

Et, voilà ce sera tout pour l’instant.
Avant de conclure, petite recrudescence de poésie à deux kopeck, peut être, avec une série de j’aurais voulu (…. Et si j’avais voulu faire un jeu de mot pourri, j’aurais rajouté « être un artiste-euh », mais mon sens de l’humour n’est pas encore atrophié à ce point.)

J’aurais voulu être un homme sous le premier empire, combattre à Austerlitz et mourir pour l’empereur à Waterloo.
J’aurais voulu vivre au début de l’ère victorienne pour recueillir Oliver Twist chez moi.
J’aurais voulu vivre à Orenbourg sous Catherine II pour pouvoir observer de loin les volutes de fumée s’échappant des tentes des cosaques révoltés.
J’aurais voulu vivre en Russie pendant les temps troubles pour hurler à tout ces péquenauds slaves qu’ils se fourvoient en traitant Godounov de régicide.
J’aurais voulu assister à la bataille d’Hernani et jeter des tomates aux pro-Hugo, comme ça, pour rire, même si j’ai adoré la pièce.
J’aurais voulu assister à la première de Cyrano de Bergerac pour me faire dédicacer le front et les joues par m’sieur Rostand à la fin de la séance.
J’aurais voulu vivre dans le sud pendant la guerre de sécession pour piquer Rhett Butler à cette pétasse de Scarlet.


Et…. Sur ce, Do Zvidanya, je retourne finir de m’abrutir sur la Critique de la Raison Pure…. Je sens d’ailleurs que Kant ne va pas tarder à rejoindre mon panthéon auteurs honnis, toutes catégories confondues, juste à côté de Zola.
Merci aux courageux qui ont tout lu !


Ah et offaite, Péesse : La réponse à la devientte du titre, c’est « Yes I’ve just ran accros a puddle ! » Haha !

Et re-Péesse (La vengence du fils, le retour) Pour l’instant je ne risque pas de poster grand-chose, mais promis, si j’ai plus de 140 réponses dans la soirée, je ferais une petite infidélité à Dorian Gray et Julien Sorrel pour me montrer active ce week-end… You-ouh !

Henr… Euh… Péèsse III, pardon !
Excusez aussi la bêtise du pavé ci-dessus, et la condescende précieuse de mon humour, mais ‘faut pas en attendre trop de la part d’une prépateuse qui se drogue au thé russe tous les soirs pour oublier qu’il lui reste encore à terrasser les vils dragons que sont Stendhal et Wilde à l‘aide seulement, d‘un malheureux petit stylo bille noir à moitié vide.

Lirianounette, tu fais toujours aussi mal à la tête. =P

Je te rejoins dans le combat contre Kant, qui devrait être banni de tous les livres scolaires et de toutes les librairies. Le gens qui comprennent Kant doivent faire partie d'une secte. =_=

Siah a écrit:

Lirianounette, tu fais toujours aussi mal à la tête. =P

Goddam ! Mon contrat secret - et ultra lucratif - avec les fabricants d'aspirine pour leur permettre de dominer le marché... Eventé ! Eventré ! Eviscéré... !

Citation :

Le gens qui comprennent Kant doivent faire partie d'une secte. =_=

Dont j'imagine bien les rituels quotidiens, d'ailleurs. Ablutions à l'eau froide matin midi et soir en psalmodiant les premiers chapitres de la critique, puis soigneuse sélection des passages les plus tortueux avant de les transmettre à tous les profs de philo de France, de Corse et de Navarre... Un vrai complot !

Mais j'ai d'ores et déjà rejoint la résistance : la secte des adorateurs de Nietzsche, de sa moustache, de ses formules chocs et de son nom inorteaugraffiable !
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira, les kantiens on les auraaaa....

Pinaise, c'est vrai, qu'est-ce qu'il a plu aujourd'hui!

Désolée, étant une de ces minables petites choses boîteuses appellées "Secondes", je n'ai pas encore eu l'honneur de faire connaissance avec Kant. Aha, sinon, je plussoie à donf tout ce que tu dis! L'Angleterre, c'est trop le bien, même si je n'y suis allée qu'une pauvre fois en quatrième avec ma classe de sauvages et qu'on a mangé des vieux sandwichs au camenbert (celui qui a inventé le sandwish au camembert mérite la désentripaillation) devant la Tamise qui est un fleuve génial mais qui sent le cadavre quand même (hé, tu imagines tous les malfrats qui y ont noyés leurs confrères?). Sinon, je crois que tu mens un peu. Avec ce pavé, ça m'étonnerait franchement que tu sois anorexique, petite polissone, va. En en plus, je crois que tu ne vas pas être contente, parce que je l'ai kiffé, moi, ton pavé (oui, je dis "kiffer"! Et ALORS?).

QUE VOIS-JE? TU AIMES EMINEM?? DANS MES BRAAAAAAS!
Sincèrement, je suis très très contente, parce que je désespérais de trouver une andouille comme moi capable de lire Sophocle en s'explosant les oreilles avec du rap US (même si je suppose que tu aimes moins le rap US que moi, tu ne PEUX PAS être aussi cinglée). Hé, tu sais, dans les Eminem, Drug Ballad est très écoutable, et super drôle aussi (j'ai oublié, je suis tellement tarée que je commence à comprendre les jeux de mots d'Eminem, hé oui), et Amityville, elle est cool mais les paroles sont un peu dég', haha (MOTHERF*CK!).

HIIIIIII! Dickens et Goethe!
Pour ce qui est de Dickens, moi, mon préféré, c'est quand même Oliver Touist (Olivier Tordu, mégalol), parce que Jack Dawkins vit dedans, et même s'il est jeté en prison à la fin, je m'en fiche (Jaaaack! Emmène-moi avec touuah égorger le bourgeois!). Oliver Tousit pue avec sa manie de vouloir rester bon et innocent (moi, je veux bien que Jack me pervertisse *SBAAAF*).
Et Goethe, il est bien aussi, même s'il est allemand (j'ai lu la version originale de Faust. Inutile que j'ai compris dix mots par pages quand les pages étaient simples, mais après j'ai lu en français et en fait c'est over-sublime, surtout quand Faust il fait des prodiges avec des cercles et des bâtons en bois bizarre, aha, j'ai adoré).

Et sinon, tu aimes les tragédiens grecs? Tu aaaaimes Oedipe Roi? (attention à ce que tu vas répondre, aha) As-tu des notions d'Antigone? Et Plaute, tu aimes Plaute? Moi, je surkiffe à donf Plaute, même si le mieux, c'est quand même les mythes avec Agamemnon et tout, et les Harpies! J'aurai aiméé être une Harpie!).

Que Dieu t'aies en Sa Sainte Garce, et bienvenue!

Citation :

Faites prépa ! Réveillez le kamikaze qui sommeille en vous !

Quelle prépa ? Littéraire, maths sup... ? Parce que en fait, tout le monde veut m'envoyer en prépa et je me demande si c'est une bonne idée. Je recherche donc un témoignage vivant agrémenté d'exemples croustillants sur l'heure à laquelle on se couche le soir (ou plutôt le matin en fait)

Citation :

Coté bouquins, Gogol est mon dieu, Pouchkine mon pape et Dostoievski mon maître en matière de psychologie

.
Tu apprends le russe ? Ou tu aimes juste la littérature russe ?

Citation :

Do Zvidanya,

aha, soit tu apprends le russe soit tu as appris les mots basiques

Citation :

je ferais une petite infidélité à Dorian Gray

version originale ou traduite ?

A. a écrit:

Que Dieu t'aies en Sa Sainte Garce, et bienvenue!

Je traduis: ça veut dire qu'elle t'aime déjà passionnément.

Moi aussi d'ailleurs.

A la plus grande écriveuse de messages de quinze pages sur blogs, je tire mon chapeau (haut de forme, s'il vous plaît). Et je crie au génie : D

Argh. De deux choses l'une ; Je rêve ou... Juliette aurait TOUT LU ?! (et non, Mey, je ne parle pas des gâteaux)
et... Ma chèèère nouvelle venue, je te signale que tu as fait une erreur à un certain nom... Quelqu'un a-t-il déjà relever??? Non???

Citation :

Emily Simon

Ahahahaha!!!!! Prise au piège! Eh oui, ça s'écrit "Emilie Simon"... M'allez! C'est bon pour cette fois!